Un ancien salarié d’une usine à Sandouville près du Havre pour une très grande marque de voiture s’est vu licencié et cela a amené du bruit auprès du syndicat ouvrier qui estime qu’il l’a été pour des raisons de santé. En effet, ce dernier, suite à 3 arrêts de travail pour maladie. Ainsi, ils ont accusé cette grande marque d’avoir manqué aux droits du jeune homme. En effet, en ne l’ayant pas mis dans les meilleures conditions de travail, il était insensé de le licencier pour des raisons de santé.
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Les faits
En juin dernier, un jeune salarié en CDI de 23 ans d’une grande marque de voitures s’est vu licencié pour « désorganisation du travail au sein de l’entreprise ». Toutefois, c’est là où se situe le problème. En effet, il faut savoir que l’ouvrier a eu recours à trois arrêts maladie du fait d’une tendinite qui était persistante. Ce dernier a même eu à subir une opération. C’est dans ce contexte que suite au licenciement de ce dernier la Force ouvrière a constaté que c’est un licenciement abusif. Il faut aussi noter que le jeune a reçu sa lettre de licenciement trois après s’être entretenu avec la DRH de la boite. Ainsi, d’après cette énumération, le syndicat Force ouvrière a clamé qu’aucun avertissement ou blâme ne lui a été présenté.
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Qu’en est t-il du côté du jeune licencié ?
Du côté de l’ancien salarié, l’incompréhension règne. Il ne comprend pas pourquoi il a été licencié de la sorte. Ce dernier dit être revenu à son entreprise pour recommencer le travail et il s’est vu refuser son poste. Ce fut une très grosse stupéfaction pour ce dernier qui aurait cru qu’il reprendrait sa place après la durée de son arrêt maladie dû à son opération au niveau de la tendinite. De ce fait, cela n’a rien à avoir avec un arrêt maladie abusif vu qu’il est prouvé que ce dernier a réellement fait l’objet d’une opération.
Quelles en sont les conséquences ?
Cette affaire révèle apparemment une faute grave de la part de l’entreprise qui a procédé au licenciement. En effet, il n’y a pas de preuve flagrante de faute qui pourrait amener cette société à mettre au pied un salarié en CDI de la sorte. De ce fait, il est très probable que cette affaire se retrouve en justice. Il est clair que le syndicat n’en restera pas là et saura défendre les intérêts du jeune salarié.
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